Huellas francófonas por acá y por allá...

Huellas francófonas por acá y por allá...

Me hice chiquitito cantado por Georges Brassens

 

 

 

Brassens – Me hice chiquitito

El poeta bigotudo de la canción francesa 

 

Este hombre es realmente un emblema en el mundo de la francofonía. Georges Brassens nació en 1921 en Sète en el sur de Francia y vivió en París durante mucho tiempo puesto que fue allá donde ejerció su arte que podríamos llamar “poesía musical”. Al final de su carrera había asociado una música con más de cientos poemas, que sean suyos o de otros poetas. Verdadero aficionado de la literatura, el pasó numerosas horas estudiando o en las bibliotecas parisienses o escondido en casa de una amiga suya durante la segunda guerra mundial.

 

Fue durante los años 50 cuando grabó en estudio sus primeras canciones que demostraron enseguida su talento para manejar las palabras del idioma francés como lo quiere. Sabe jugar de manera asombrosa con todo tipo de vocabulario que sea literario, poético, bíblico, o familiar, pero nunca se hace vulgar. Este perfeccionista que nunca se cansaba de retocar sus versos y su música recibió también el Gran Premio de poesía por la Academie Française en 1967 para certificar la calidad de sus canciones.

 

Estas nos cuentan varias anécdotas que reflejan el ambiente de los años pos-guerra en Francia pero que siguen permaneciendo muy contemporáneas por los temas tratados. Georges Brassens es ante todo un humanista crítico y humorístico a la vez. En su canción “las trompetas de la renombre” se ataca por ejemplo a la superficialidad de la idea de gloria y de las complicaciones que conlleva. El amor y las infidelidades son temas recurrentes en sus poemas aunque él siguió siendo fiel desde sus 26 años para el resto de su vida a Joha Heiman, apodada  Pupchen. A este propósito, la canción que les proponemos escuchar ahora y escrita en 1956 fue inspirada sin duda por ella: Me hice chiquitito

 

 

 

Brassens – Je me suis fait tout petit. 

LE poète moustachu de la chanson française

 

Voilà un homme réellement emblématique dans le monde de la francophonie. Georges Brassens est né en 1921 à Sète dans le sud de la France et vivra à Paris une bonne partie de sa vie et où il exercera son art qu'on pourrait appeler « poésie musicale ». A la fin de sa carrière il avait mis en musique plus d'une centaine de poèmes en musique, les siens comme ceux d'autres poètes. Vrai passionné de littérature, il passera de nombreuses heures à étudier que ce soit dans les bibliothèques parisiennes ou reclus chez une amie pendant la seconde guerre mondiale.

 

C'est dans les années 50 qu'il enregistrera ses premières chansons en studio qui prouveront immédiatement son talent pour manier les mots de la langue française à sa guise. Il joue sur les registres de langue de façon impressionnante connaissant aussi bien le vocabulaire littéraire, poétique ou biblique que le vocabulaire familier, sans jamais atteindre la vulgarité. Ce perfectionniste qui n'avait jamais fini de remanier ses vers et sa musique recevra notamment le Grand Prix de poésie de l'Académie française en 1967 pour ses chansons.

 

Elles nous content de nombreuses anecdotes qui reflètent l'ambiance des années d'après-guerre en France mais qui restent très contemporaines par les thèmes abordés. Georges Brassens reste un humaniste critique et drôle à la fois. Dans Les trompettes de la renommée il s'attaque par exemple à la superficialité de l'idée de gloire et les complications qu'elle entraîne. L'amour et les infidélités sont des thèmes particulièrement récurrents dans ses chansons bien que lui même restera fidèle à Joha Heiman, surnommée Pupchen, de ses 26 ans jusqu'à sa mort. C'est d'ailleurs certainement elle qui lui aura inspiré la chanson écrite en 1956 que nous vous proposons d'écouter à présent : Je me suis fait tout petit. 



10/05/2012
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